Que signifie être actuaire chez BNP Paribas Cardif ?

L’actuariat est au cœur même de toute activité d’assurance : chez BNP Paribas Cardif, 600 actuaires à travers le monde interagissent quotidiennement avec l’ensemble des métiers de l’entreprise pour accompagner le développement de notre activité dans un cadre de risque maitrisé. Cela leur permet de mettre à profit leur connaissances et de démontrer leur expertise sur des sujets très variés. Ils ont ainsi la possibilité d’évoluer au sein de différents services et d’enrichir leur parcours en travaillant sur des problématiques de tarification, de modélisation, de suivi du risque mais également sur des sujets en rapport avec la finance, l’IA ou encore le développement commercial.

Favorisant le développement de la transversalité, ces parcours permettent à nos actuaires de davantage contribuer à notre mission de rendre l’assurance plus accessible.

Comment BNP Paribas Cardif accompagne les actuaires, tout au long de leur parcours au sein de l’entreprise ?

Les changements de notre société s’accélèrent. Nouvelles habitudes de consommation, nouvelles technologies, nouveaux besoins et nouveaux risques : le métier d’assureur de BNP Paribas Cardif est en constante évolution. C’est pourquoi il est essentiel de former nos actuaires tout au long de leur parcours – et dès leur arrivée au sein de BNP Paribas Cardif – pour qu’ils puissent mettre à profit leur expertise dans ce monde qui change.

Les collaborateurs qui le souhaitent peuvent ainsi passer le Certificat d’Expertise Actuarielle (CEA), leur permettant d’obtenir le Master Actuariat délivré par la Sorbonne.

Nous soutenons également le développement de leurs compétences, notamment en Analytics, via le parcours de formation « Analytics Manager Academy », créé conjointement par BNP Paribas Cardif et l’Ecole Polytechnique, qui vise à former des collaborateurs pour leur permettre de devenir des acteurs clés de la transformation de l’entreprise, en diffusant la culture et l’utilisation de l’intelligence artificielle.

Quelles évolutions leur sont proposées pour le futur ?

Chez BNP Paribas Cardif, nous avons à cœur de proposer à l’ensemble de nos collaborateurs de nombreuses opportunités de mobilités, que ce soit en France ou à l’international, ou encore dans d’autres entités du groupe BNP Paribas.

Pour accompagner les actuaires dans le développement de leur carrière, nous organisons régulièrement un « Actuary Day », journée dédiée à promouvoir leur visibilité et leur mobilité au sein du Groupe.

Nous leur offrons également la possibilité de poursuivre leur carrière à l’international, dans l’un des 30 pays dans lesquels BNP Paribas Cardif est présent, que ce soit en Europe, en Asie ou encore en Amérique latine.

Enfin, il n’est pas rare de voir nos actuaires évoluer vers d’autres postes, à la tête de l’une de nos entités à l’international, ou en tant que directeur d’une zone géographique, ou encore vers des métiers liés à la data, la finance, les risques ou l’audit interne.

En janvier et octobre 2024, se sont tenues les 8e et 9e éditions de l’Analytics Manager Academy internationale (AMA), réunissant 36 nouveaux participants de BNP Paribas Cardif venant de France, d’Europe, d’Amérique latine, avec des profils diversifiés.

Fondée en 2018, cette formation ambitieuse et intensive en Data Sciences est délivrée en partenariat avec l’École Polytechnique, sous le parrainage de Stanislas Chevalet, Directeur Général Adjoint, Transformation et Développement, et Michael de Toldi, Chief Analytics Officer. C’est l’un des dispositifs clés pour accompagner la transformation IA (Intelligence Artificielle) de BNP Paribas Cardif.

L’AMA vise à former nos acteurs du changement, leaders d’aujourd’hui et de demain, pour les aider à diffuser la culture de l’IA dans toute l’entreprise, et les équiper pour poser les bonnes questions et prendre les bonnes décisions. Ils peuvent ainsi tirer parti de l’IA, afin de booster la création de valeur stratégique pour nos partenaires, clients et collaborateurs, servir l’efficacité opérationnelle et contribuer à la réduction des risques.

Pour atteindre ces objectifs, l’AMA apporte à la fois une compréhension précise et rigoureuse de l’IA, en plongeant dans ses fondamentaux techniques avec les meilleurs experts de l’Ecole Polytechnique, et de la façon dont nous créons de la valeur grâce à l’IA, en explorant l’écosystème IA de BNP Paribas Cardif avec nos experts internes.

Au total, c’est déjà plus de 140 managers, top managers, talents et acteurs clés de notre écosystème IA, qui ont été formés à tous ces sujets grâce à ce programme d’excellence entre BNP Paribas Cardif et l’Ecole Polytechnique Exécutive Education.

Félicitations à tous les participants pour leurs efforts et leur proactivité ainsi qu’à tous les collaborateurs qui ont contribué à ces éditions en organisant des conférences et en partageant leur expertise et leurs expériences.

L’Analytics Manager Academy sera de retour pour une 10ème édition !

Rejoindre les équipes de BNP Paribas Cardif en alternance c’est faire le choix de découvrir une entreprise qui saura vous proposer un écosystème à la fois stimulant et bienveillant. Mais pas que… Découvrez toutes les bonnes raisons de nous rejoindre !

Rejoignez une entreprise engagée

Filiale du premier groupe bancaire européen BNP Paribas, nous sommes spécialistes mondial des solutions d’épargne et de protection. 

Dans un monde qui change rapidement, nous souhaitons être un employeur responsable, et répondre aux attentes humaines et sociales d’un monde du travail en rapide évolution. Nous sommes ainsi pleinement concernés par les enjeux Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) que nous intégrons dans tout ce que nous entreprenons, tout comme le Groupe BNP Paribas, classé premier acteur responsable du secteur Banque et Services Financiers en France. 1

Ainsi, nous sommes engagés en faveur de la formation et de l’insertion sur le marché du travail des jeunes générations. Cet engagement se traduit notamment par le recrutement d’alternants afin de leur transmettre notre expertise et de les accompagner dès le début de leur carrière.

BNP Paribas Cardif est présent dans 30 pays et propose une grande diversité de postes avec environ 400 métiers différents. Vous avez ainsi l’opportunité de travailler dans un environnement international et de bénéficier de parcours extrêmement riches. Nos collaborateurs ont une véritable expertise et vous accompagneront pour vous faire monter en compétences dans votre métier.  

  • Actuariat & Risques 
  • Commercial & Distribution
  • Conformité
  • Digital, Analytics & Data
  • Finance
  • IT
  • Opérations & service clients
  • Comptabilité & Contrôle de Gestion
  • Juridique et fiscal
  • Marketing et Communication
  • Ressources Humaines 

BNP Paribas Cardif a réellement à cœur de prendre soin des hommes et des femmes qui composent leurs équipes. Nous travaillons ensemble à bâtir des relations humaines fondées sur la confiance réciproque, la collaboration et l’intelligence collective. Autant de facteurs qui favorisent la mise en place d’une dynamique de travail bienveillante et stimulante.
Au quotidien, vous serez pris en charge par un tuteur dédié ainsi qu’une équipe RH qui vous accompagnera dès votre arrivée et tout au long de votre parcours dans l’entreprise.

  • Point d’accueil (présentation équipe, fonctionnement, informations essentielles à la vie d’entreprise)
  • Point attentes mutuelles et missions 
  • Séminaire d’intégration dédié pour mieux connaitre l’entreprise, avec notamment la visite de notre Cardif Lab’ et de la Customer Room
  • Entretien fin de période d’essai puis entretien à mi-parcours
  • Points réguliers et de préparation du mémoire 
  • Intégration au sein de la communauté des alternants 
  • Accès au Comité d’Entreprise avec des tarifs préférentiels sur une offre culture, loisirs, vacances…
  • Mutuelle gratuite
  • Prime de participation aux résultats du Groupe BNP Paribas et prime d’intéressement aux résultats de BNP Paribas Cardif
  • Télétravail (pour les métiers qui le permettent) et Tickets Restaurant pour les journées télétravaillées
  • Accès au restaurant d’entreprise sur site, avec participation financière de l’entreprise
  • Différents services sur place : parking voiture/vélo, terrasses, potagers, salle de sport, bibliothèque, cabine médicalisée, conciergerie (pressing, retouches, cordonnerie, livraison de colis, ostéopathe, salon de coiffure/barbier…), navettes toutes les 10min pour rejoindre le site de Nanterre à partir de La Défense ou de Nanterre Université.

Une fois votre alternance terminée, vous pourrez postuler à nos offres d’emploi mais aussi à celles du Groupe BNP Paribas, en France ou à l’international. 

C’est le moment ! Vous trouverez toutes nos offres sur notre page « Offres d’emploi » ainsi que sur le site du groupe BNP Paribas.

Chez nous, ce sont vos compétences qui font la différence.
BNP Paribas Cardif recrute des candidats en situation de handicap en Alternance.
Envoyez votre CV à missionhandicap@bnpparibas.com

 

1Classement Le Point Classement 2023 des entreprises les plus responsables en France par secteur d’activité : Palmarès RSE – Les entreprises les plus responsables en 2023 (lepoint.fr)

 

VOUS ÊTES ACTUAIRE ET SOUHAITEZ NOUS REJOINDRE ?

Chez BNP Paribas Cardif, les actuaires sont au cœur de la transformation et la transformation est au cœur de leur métier. C’est une fonction riche en perspectives, rencontres et opportunités, où chacun peut construire le parcours qui lui ressemble, en fonction de son expertise et de ses appétences.

Aurore, actuaire, vous présente son #UnexpectedJob :

« Et si je vous disais que mon métier consiste à rendre l’assurance plus accessible en apprenant du passé, pour mieux analyser le présent et ainsi anticiper le futur ? Autrement dit, je suis simulateur de risques chez BNP Paribas Cardif. »

Découvrez son portrait 

#Unexpectedjobs : découvrez nos métiers de façon inattendue 

Afin de valoriser la diversité de nos métiers et de démystifier le secteur de l’assurance, nous avons invité nos collaborateurs à présenter leur métier autrement et de façon surprenante. 

Chez BNP Paribas Cardif, nous proposons une grande diversité de métiers et de postes. Il existe en France et à l’international environ 400 métiers différents allant de la finance à l’actuariat, en passant par la RSE, les ressources humaines, l’informatique et la data-science…

Chez BNP Paribas Cardif, nous proposons une grande diversité de métiers et de postes. Il existe en France et à l’international environ 400 métiers différents allant de la finance à l’actuariat, en passant par la RSE, les ressources humaines, l’informatique et la data-science… Mais saviez-vous que parmi ces métiers se trouvent également des Harmonistes de contenus, des Vigipirates dans le Cyberespace ou encore des Architectes des chiffres ?

Afin de valoriser la diversité de nos métiers et de démystifier le secteur de l’assurance, nous avons invité nos collaborateurs à présenter leur métier autrement et de façon surprenante.

Aurore, vous présente son #unexpectedjob :

« Et si je vous disais que mon métier consiste à rendre l’assurance plus accessible en apprenant du passé, pour mieux analyser le présent et ainsi anticiper le futur ? Autrement dit, je suis simulateur de risques chez BNP Paribas Cardif. »

Vous avez trouvé son métier ? Réponse en vidéo ci-dessous !

Vous souhaitez nous rejoindre ?


Chez BNP Paribas Cardif, nous proposons une grande diversité de métiers et de postes. Il existe en France et à l’international environ 400 métiers différents allant de la finance à l’actuariat, en passant par la RSE, les ressources humaines, l’informatique et la data-science… Mais saviez-vous que parmi ces métiers se trouvent également des Harmoniste de contenus, des Vigipirates dans le Cyberespace ou encore des Architectes des chiffres ?

Afin de valoriser la diversité de nos métiers et de démystifier le secteur de l’assurance, nous avons invité nos collaborateurs à présenter leur métier autrement et de façon surprenante.

Alpha s’est prêté au jeu ! Collaborateur BNP Paribas Cardif depuis 4 ans, il est arrivé en tant qu’intérimaire et est aujourd’hui responsable d’équipe Référentiels & Agréments. Et tout ça en un an et demi ! Son objectif est de transmettre à son tour tout son savoir-faire auprès de son équipe et ainsi les aider à développer leurs compétences. Mais quel est son #unexpectedjob… ?

« J’ai souvent des questions autour de mon métier et ce que je fais au quotidien. Et si je vous disais que je n’étais plus Responsable d’équipe Middle-Office financier, mais plutôt Milieu de terrain de l’épargne patrimoniale ? 

En tant que responsable d’équipe chez BNP Paribas Cardif, je supervise la qualité et la fiabilité des données financières au sein d’une entité spécialisée dans l’épargne patrimoniale auprès des banques externes du Groupe BNP Paribas, tout en faisant évoluer mon équipe.

En d’autres termes, je suis garant de sécuriser le flux d’informations financières de la publication sur le marché jusque dans l’application dans les contrats des clients et j’assure également la gestion des offres et produits financiers dans les systèmes d’information. D’où Milieu de terrain de l’épargne patrimoniale. »

Découvrez le témoignage d’Alpha en vidéo : 

Pour découvrir tous nos #unexpectedjobs, rendez-vous sur LinkedIn !

Découvrez en détails la campagne #Unexpectedjobs 

Vous souhaitez nous rejoindre ? Découvrez nos offres 

Delphine Mantz prend la direction des activités de BNP Paribas Cardif France dédiées aux conseillers en gestion de patrimoine (CGP), aux courtiers et au e-Business. Elle intégre le comité exécutif de BNP Paribas Cardif France et est rattachée à Fabrice Bagne, directeur général adjoint de BNP Paribas Cardif, responsable France et Luxembourg.

Depuis près de quarante ans, BNP Paribas Cardif collabore avec des CGP et courtiers en assurance qui distribuent ses produits d’épargne et d’assurance emprunteur. BNP Paribas Cardif France compte aujourd’hui plus de 2000 CGP partenaires sur l’ensemble du territoire, qui sont au cœur de sa stratégie de développement. L’assureur, en tant que fournisseur de services, les accompagne en leur proposant le bon produit au bon moment, tout en restant à l’écoute de l’évolution du marché.

Delphine Mantz débute sa carrière en 2005 en contrôle de gestion et pilotage de la performance au sein de la direction financière de BNP Paribas Cardif. En 2010, Delphine Mantz est nommée directrice financière et responsable de la performance, ainsi que membre du comité de direction pour la région Asie. Elle quitte ensuite BNP Paribas Cardif en 2014, pour rejoindre Deloitte Touche Tohmatsu en tant que responsable des services financiers du bureau de Port-Gentil au Gabon. De 2017 à 2018, elle enseigne le français au sein de l’Institut Français de Stavanger en Norvège. C’est en 2018 que Delphine Mantz de retour en France, intègre de nouveau BNP Paribas Cardif France comme experte data science & analytics. Depuis 2021, Delphine Mantz était responsable de développement de nouveaux business et marchés au sein de BNP Paribas Cardif France.

Delphine Mantz est diplômée de l’ESSEC depuis 2005, ainsi que du « Data Science Starter program » de l’école Polytechnique depuis 2019

Lieu de travail de plus de 4 000 collaborateurs BNP Paribas Cardif depuis 10 ans, le bâtiment appelé « Odyssée », est avant tout un lieu de vie. Situé à Nanterre, dans les Hauts-de-Seine, il offre à ses occupants un cadre de travail innovant et idéal, dans un complexe moderne. Suivez le guide !

Travailler dans des espaces dynamiques et accueillants

Afin de répondre aux nouveaux modes de travail en entreprise, BNP Paribas Cardif a développé des espaces dynamiques dédiés au Flex Office. Mis en place depuis plusieurs années, cet aménagement permet aux collaborateurs de choisir des positions de travail individuelles ou collaboratives, favorisant ainsi les échanges et la transversalité entre les équipes.

Adopté par tous, les espaces sont également aménagés pour être utilisés, selon les besoins, comme des lieux d’échanges professionnels ou de travail collaboratif, mais aussi de rencontre et de détente.

Ainsi, chez BNP Paribas Cardif, les espaces de travail évoluent en permanence pour s’adapter aux nouvelles pratiques, dans une logique de « smart working »1.

Récemment, deux nouveaux espaces collaboratifs ont été inaugurés : le Blue Spot et le Green Spot. Ces salles proposent des zones de travail formelles et informelles, afin de favoriser le bien-être, l’efficacité et la collaboration entre les équipes. Ces espaces encouragent également la pratique de la méthodologie agile2, très appréciée par nos collaborateurs.

Bénéficier de lieux d’innovation et de création uniques

L’innovation est au cœur de la stratégie de l’entreprise. Ainsi, le Cardif’Lab a été créé en 2014 afin de mettre en lumière les innovations digitales et d’anticiper les nouvelles tendances du marché. Véritable lieu d’expérience et de création, le Cardif Lab’ permet de diffuser les innovations au sein de l’entreprise et ainsi d’acculturer les collaborateurs sur les sujets de l’assurance de demain.

Autre lieu d’innovation, la « Customer Room ». Cet espace immersif permet aux équipes de mieux connaître le parcours des clients, en vivant leur expérience. La technologie utilisée, l’hologramme, est au service de leur témoignage et permet ainsi de restituer une présence « physique ». Le résultat est unanime : la Customer Room engage l’ensemble des collaborateurs et leurs managers à mieux intégrer le client dans leurs actions quotidiennes. A ce titre, le projet a remporté l’Argus d’Or 2022 dans la catégorie Innovation Managériale.

Vivre dans un lieu dynamique 

Afin de contribuer au bien-être des collaborateurs, plusieurs services sont proposés au sein du bâtiment. Salle de sport, conciergerie, médiathèque, agence bancaire, coiffeur, ostéopathe, cabine de télémédecine. … Un large choix qui permet à chacun de profiter de services de proximité sans sortir de son lieu de travail

Véritable cœur de l’entreprise, l’allée principale qui dessert tout le bâtiment, fait souvent l’objet d’animations lors de fêtes ou d’événements. En 2021, c’est sous le thème de la Grèce Antique (clin d’œil au nom du bâtiment) qu’Odyssée soufflait ses bougies à l’occasion de ses 10 ans !

Profiter de la nature 

Les espaces verts font partie intégrante du quotidien des collaborateurs avec plusieurs bassins d’eau et des jardins qui plongent les usagers dans la nature. Cet aménagement permet également aux collaborateurs d’agir en faveur de la biodiversité en participant à différents ateliers en extérieur comme la gestion d’un potager pour ceux qui ont la main verte (ou pas !). 

Travailler tout en prenant un bol d’air frais, c’est aussi possible grâce aux différents aménagements extérieurs entourés d’espaces verts, tant au sein des jardins que sur les nombreuses terrasses du bâtiment. 

En ce qui concerne les espaces de restauration, que ce soit en intérieur ou extérieur, seul ou en groupe, les collaborateurs et visiteurs d’Odyssée ont l’embarra du choix : une brasserie, une cafétéria et une cantine sont à leur disposition.

Du nouveau en 2022

En 2022, Odyssée accueille pour la première fois d’autres collaborateurs du Groupe BNP Paribas : Asset Management et Wealth Management. Le bâtiment devient ainsi un immeuble multi-occupants, accueillant le plus de résidents du Groupe.

L’aménagement spécifique du bâtiment permet à l’entreprise de s’adapter en permanence aux nouvelles pratiques mais aussi aux besoins de nos collaborateurs. Que ce soit à travers les espaces de travail, la diversité des services proposés ou grâce à un environnement privilégié, tout est réuni pour permettre aux équipes d’évoluer dans un cadre idéal pour s’épanouir professionnellement mais aussi personnellement. Mais le mieux, c’est que vous veniez voir par vous-même !

(1) Le Smart Working est l’ambition que BNP Paribas se donne pour continuer à faire évoluer ses modes de travail dans les prochaines années.
(2) La méthodologie agile est une approche qui permet de planifier un projet avec des objectifs courts. Cette pratique permet également de favoriser la collaboration entre les équipes et de placer le client au cœur de chaque action. Elle est considérée comme une méthode plus souple que les méthodes de gestion de projet classiques.

La multiplication des données personnelles qui accompagne l’explosion du marché des objets connectés donne aux assureurs un aperçu de plus en plus fin des comportements de leurs clients. Mais la collecte de ces données sensibles inquiète et pose question : comment reprendre le contrôle sur nos data à l’heure de l’ultra-personnalisation du risque ?

Le suivi des données de santé et de géolocalisation a pris un nouvel élan avec la crise sanitaire mondiale. Envisagé comme l’un des moyens d’endiguer la pandémie, il a vu fleurir des applications mobiles pour « tracker » le coronavirus dans plusieurs pays touchés. En Chine, les citoyens se sont vu attribuer un code barre de couleur (vert, jaune ou rouge) leur indiquant ce qui leur est possible de faire ou non, de l’interdiction de fréquenter le métro à la mise en quarantaine. La Corée du Sud, elle, a mis au point une application localisant les lieux les plus infectés. En France, pour suivre les mouvements de la population pendant l’épidémie, Orange a fourni les données de géolocalisation (anonymisées et agrégées) de ses abonnés, et l’application de traçage du gouvernement, StopCovid (encore au stade de projet) fait débat depuis plusieurs semaines. Capable de suivre et d’identifier les personnes ayant été en contact avec une personne infectée, elle serait « dangereuse pour nos libertés », selon La Quadrature du net. L’application de télésuivi des patients porteurs ou suspectés du Covid-19 sans signe de gravité, Covidom, est en revanche opérationnelle depuis le 9 mars.

S’ils s’inscrivent aujourd’hui dans une situation d’urgence exceptionnelle, ces dispositifs de « data tracking » ne sont pas neufs. Du nombre de pas réalisé chaque jour à la souplesse de notre conduite, nos comportements sont captés et analysés en continu par les cookies sur nos navigateurs et nos applications, mais aussi sur nos assistants vocaux, montres connectées et autres trackers intelligents. Le marché de la domotique est en pleine croissance, porté notamment par l’essor des assistants vocaux, en passe de devenir la nouvelle norme : selon les prévisions du cabinet Juniper Research, leur nombre devrait atteindre 8 milliards dans le monde en 2023 (contre 2,5 milliards fin 2018). Le secteur de la santé, lui, peut compter sur la vague du quantified self (ou « auto-mesure de soi »), cette tendance à vouloir tout mesurer dans nos performances quotidiennes, de la séance de footing au taux d’oxygène dans le sang.

Pour les assureurs, ces données représentent une opportunité pour se positionner au plus proche de leurs clients, leur permettant de suivre l’évolution des risques en temps réel et de leur proposer des tarifs calibrés sur leur profil et leurs habitudes. Une tendance qui n’est pas forcément pour déplaire aux assurés, si l’on se fie à une étude menée par Accenture en 2016, révélant que 80 % des personnes interrogées « recherchent une personnalisation en termes de conseil, d’offre, de tarif et de communication, que ce soit en assurance auto, habitation ou encore en assurance vie ». Ils étaient presque autant (77 %) à se déclarer « disposés à fournir des données liées à leur usage ou à leur comportement en contrepartie d’une diminution de leur prime ».

Mieux vaut prévenir que guérir

Aux États-Unis et en Grande-Bretagne, la prime au plus vertueux est déjà monnaie courant. Certains assureurs récompensent en effet ceux qui acceptent de porter un bracelet connecté pour prouver qu’ils font régulièrement de l’exercice physique. Développé par Lapetus Solutions, le logiciel d’analyse faciale Chronos permet quant à lui aux assureurs de calculer les primes d’assurance-vie à partir d’un court questionnaire et d’un selfie, auquel il associe divers indicateurs (indice de masse corporelle, pathologies, tabagisme éventuel…) pour estimer l’espérance de vie. Le comportement des assurés s’analyse désormais non plus sur la base de leur historique mais à travers leur quotidien, voire leur futur.

De plus en plus, la prévention s’intègre au quotidien, sans effort. Répondant à une commande vocale, le miroir connecté de CareOS, présent au Cardif Lab’, permet d’accéder « en un regard » à « toutes les informations nécessaires pour évaluer et améliorer vos routines, jouer avec votre reflet et en apprendre davantage sur votre santé » : bilan de la peau, test d’acuité visuelle, essais virtuels de maquillage, conseils personnalisés de soins… Dans le domaine de la santé et du bien-être, la collecte et l’analyse de data augmente la connaissance et le contrôle des individus sur leur corps. Pour les personnes âgées, ces dispositifs riment aussi avec davantage d’autonomie. Faire de la prévention et participer ainsi au mieux-être à domicile avec le plus de sécurité sur le plan de la santé, c’est d’ailleurs l’objectif de l’offre Generation Care développée par BNP Paribas Cardif en France. Intégrée dans la start-up Life Plus, société engagée dans le bien-vieillir et la prévention de la fragilité des personnes âgées et personnes dépendantes, elle permet à ces dernières de mesurer elles-mêmes leurs données de santé (pouls, tension, poids, activité physique…) depuis chez elles et d’assurer un suivi à distance par une équipe médicale.

Pour Renaud Dumora, Directeur Général de BNP Paribas Cardif « les technologies numériques sont des apports gagnant-gagnant au contrat d’assurance », dans la mesure où « elles conduisent à une meilleure prévention des risques, donc à une réduction du coût social des dommages, à une protection plus adaptée mais aussi à une assurance plus accessible». Car cela doit être fait en maintenant le fondement de solidarité de l’assurance: l’ultra-personnalisation des offres d’assurance ne doit pas nuire à l’assurabilité, souligne-t-il en évoquant le risque de la « démutualisation à outrance ». Elle doit au contraire pouvoir augmenter l’assurabilité : « La richesse des bases de données, notamment médicales, permet aux assureurs d’élaborer des solutions dédiées à certaines populations à risque aggravé ».

Voitures et maisons intelligentes

L’essor de « l’assurance au comportement » ne se limite pas au secteur de la santé. Cela fait une quinzaine d’années que le principe de « pay as you drive » a fait son apparition dans l’assurance automobile, avec un principe similaire : proposer des tarifs préférentiels aux meilleurs conducteurs et pénaliser les autres, grâce à un boîtier électronique installé dans le véhicule jaugeant l’agressivité de la conduite.

Idem pour les assurances habitation : en Italie, une assurance habitation H@bitat Homebox, lancée par BNP Paribas Cardif, s’appuie sur une box domotique, des capteurs de fumées, d’inondation et de panne de courant. En cas de problème, une alerte parvient au client par SMS, mail ou téléphone. L’assureur a ainsi enregistré une baisse de 20% des sinistres par rapport à un produit classique. Le futur devrait réserver de beaux jours à ce type d’assurances, au vu de l’attrait qu’exerce le logement connecté en France, aussi bien en termes de confort et de sécurité que de réduction de la consommation énergétique.

Vers un suivi des assurés ?

La collecte et l’exploitation de ces données, souvent sensibles, pose néanmoins question. Selon une étude BCG, 40 % des Français et des Américains se disent inquiets de la manière dont les assurances de santé gèrent leurs données. Il faut dire qu’en matière de santé notamment, les données récoltées peuvent échapper au contrôle des usagers. Une discussion sur une messagerie instantanée ou une recherche sur un moteur de recherche au sujet d’une pathologie particulière, des achats réguliers de junk food et un nombre de pas très faible réalisés par jour donnent aussi des indications sur l’état de santé si toutes ces données sont croisées. Qui sait si demain, ce type de data pourrait aussi entrer en ligne de compte pour déterminer le tarif de votre assurance complémentaire santé ?

Un scénario peu probable à court terme en France, où la loi Evin interdit aux complémentaires santé de proposer des tarifications « comportementales » à leurs assurés. La CNIL encadre par ailleurs la collecte et le traitement des données personnelles, notamment de santé, qui ne peuvent être cédées ni vendues, sauf consentement explicite de l’utilisateur (RGPD oblige), ou à des fins de recherche, comme c’est le cas du Health Data Hub, une base de données médicales mise en place par le gouvernement français. Les contrats d’assurance automobile « pay as you drive », eux, sont autorisés en France à certaines conditions : le pack de conformité « véhicules connectés et données personnelles » publié par la CNIL en octobre 2017 stipule que ces données relatives aux trajets effectués constituent bien des données personnelles qui doivent donc être protégées comme telles.

Reprendre le contrôle sur nos données

Pour rassurer les clients, les assurances misent sur la sécurisation de leurs données et les avantages de la digitalisation. Des contrats intelligents s’appuyant sur la blockchain permettent aux assurés d’être indemnisés automatiquement et en toute sécurité en cas de chômage, par exemple dans certains pays nordiques. D’autres dispositifs redonnent la main aux clients : dans le milieu de l’assurance automobile, « une approche de protection des données dès la conception doit être privilégiée. Elle peut se traduire par la mise en place de tableaux de bord facilement paramétrables, de façon à garantir à l’utilisateur la maîtrise de ses données », écrivent Dominique Paret et Hassina Rebaine dans Véhicules autonomes et connectés (éd. Dunod, 2019).

C’est la même démarche que préconise Mathieu Cunche, professeur à l’INSA-Lyon et membre de l’équipe Privatics de l’INRIA, avec la mise en place de boîtiers sécurisés à domicile sur lequel les objets connectés du foyer pourraient être connectés afin d’éviter toute interaction avec un serveur extérieur. « Avec ce dispositif, les données sont toujours collectées, mais elles ne sont pas envoyées sur des serveurs de Fitbit [qui a été racheté par Google, NDLR] ou d’Apple, par exemple, explique-t-il en mentionnant ownCloud et Cozy cloud. Cela permet d’augmenter le niveau de contrôle des citoyens sur leurs propres données, en décidant qui peut accéder à quel type de données et avec quelle précision. » Et ainsi de calibrer soi-même en toute conscience le niveau de personnalisation du risque dans une possible future offre d’assurance…

La révolution numérique façonne une conception élargie de la personne, à laquelle on peut désormais associer l’ensemble de ses activités virtuelles et de les traces qu’elle laisse sur la toile. Une nouvelle donne qui s’accompagne de son lot de nouveaux risques. Alors pour reprendre le contrôle de nos existences numériques, pourquoi ne pas les assurer au même titre que notre santé ou notre logement ?

Entre « vraie vie » et existence numérique, la distinction aura-t-elle encore un sens demain ? Avec l’hyper-digitalisation de la société et la démultiplication du nombre de données, notre activité virtuelle — des réseaux sociaux aux achats en ligne, en passant par les démarches administratives sur le net — apparaît de plus en plus clairement comme une extension de notre identité physique « IRL » (in real life). La preuve, les données personnelles (soit toute information se rapportant à une personne physique susceptible d’être identifiée, directement ou indirectement), mises en ligne tout au long de notre vie, nous survivent, et parfois nous précèdent. Aujourd’hui, d’après une étude réalisée par l’institut de sondage Gece, 30% des bébés ont déjà leur empreinte en ligne avant même de naître, à travers une photo de l’échographie ou une simple annonce de la grossesse sur les réseaux sociaux. Parallèlement, le temps passé sur nos smartphones ne cesse d’augmenter : d’après une étude menée par Hootsuite, en 2019, la moyenne mondiale était de 3h14 par jour, contre 3h06 en 2018,.

Une vie en ligne, à laquelle on ne pense pas en publiant un simple post sur Instagram et qui échappe souvent à notre contrôle et nous rend vulnérable. En 2016, selon le rapport annuel Breach Level Index (BLI) de la société Gemalto, 1,4 milliard d’identités ont été volées : des noms ou pseudos, des adresses IP, parfois des mots de passe… avec des conséquences parfois importantes telles que l’usurpation d’identité, la fraude ou encore le cyber harcèlement. Une menace qui dépasse donc largement ce que l’on partage volontairement ou non sur les réseaux sociaux, et elle est d’autant plus inquiétante que les données sensibles sont vouées à être digitalisées. Dans les années à venir, il n’est pas impossible que nos papiers d’identité soient utilisés sous forme 100% numérique : en France, deux régions-pilotes testent déjà une version dématérialisée de la carte Vitale.

Amplification des cyber-risques

Le risque est désormais global et généralisé, et concerne aussi bien les particuliers que les entreprises. Pour Laurent Heslault, directeur des stratégies de sécurité de Symantec, « on doit devenir cyber-résilient. La question n’est pas de savoir si l’on va être attaqué, mais plutôt quand. » Les chiffres livrés par le dernier rapport annuel de Symantec en 2019 indiquent en effet une intensification évidente de la cybercriminalité : + 33% de logiciels de rançons sur mobile, + 25% de groupes de hackers utilisant un malware destructif, +78% d’attaques visant les chaînes logistiques… Les objets connectés sont particulièrement touchés : en 2018, plus de 70 millions de dossiers y ont été volés ou divulgués.

Les techniques de hacking, quant à elles, ne cessent de s’affiner, du cryptojacking (un logiciel malveillant utilisant les ressources d’un ordinateur ou d’un appareil mobile pour « miner » de la cryptomonnaie) aux « fausses applis » (à l’instar de « Setup for Amazon Alexa », qui dérobait les données des utilisateurs à leur insu), en passant par le piratage de la supply chain, qui consiste pour les cybercriminels à s’attaquer directement aux entreprises de production de logiciels, comme récemment l’outil de nettoyage CCleaner.

Demain, tous cyberassurés ?

Autant de risques qui nourrissent un sentiment d’inquiétude bien réel : d’après le dernier baromètre confiance des français dans le numérique de l’Acsel, datant de début 2020, seuls 40% des Français ont confiance dans le numérique. Pour les aider à reprendre le contrôle de leur existence numérique, certains assureurs concoctent d’ores et déjà des offres de cyberassurance adaptées à cette nouvelle donne. Après avoir émergé dans le secteur bancaire dès les années 1990 et s’être progressivement répandues dans le monde de l’entreprise — en France, 67 % d’entre elles déclarent avoir subi au moins une cyberattaque en 2019, leur coûtant en moyenne 110 000 euros, selon le rapport Hiscox sur la gestion des cyberrisques —, celles-ci commencent tout juste à attirer les particuliers désireux de se prémunir des aléas de l’existence numérique.

D’après une étude publiée en mars par Optimind, le marché français de l’assurance cyber pour les particuliers est en plein essor, avec une petite dizaine d’acteurs proposant des contrats incluant des garanties relatives à l’atteinte à l’e-réputation, l’usurpation d’identité et la bonne livraison des achats en ligne. Ainsi, à travers son service de protection juridique, BNP Paribas Cardif propose depuis plusieurs années aux particuliers une protection juridique pour le vol d’identité et la protection des moyens de paiement. Dans cette offre lancée dans différents pays d’Europe (ex : Allemagne et Autriche), l’assureur fournit également une assistance pour observer et comprendre l’attaque afin de mieux l’arrêter, ainsi que d’éventuelles compensations aux préjudices subis.

Compléter l’arsenal juridique

Dans le futur, ce type d’offres pourrait bien apporter une réponse complémentaire au cadre juridique protégeant les internautes de ce type d’attaques. En France, la loi — renforcée par l’entrée en vigueur du RGPD en 2018 qui insiste sur l’importance du consentement « libre, spécifique, éclairé et univoque » de l’internaute — assure aux particuliers un certain niveau de protection, puisqu’ils ont la possibilité de porter plainte à la CNIL en cas de violation de leurs données personnelles, et au commissariat en cas de cyberattaque. Ces dispositifs sont toutefois limités : « La CNIL est submergée de plaintes, et ses moyens sont assez limités. Si le RGPD et la CNIL ne gagnent pas en efficacité, peut-être que l’on arrivera à l’idée qu’il faut assurer individuellement les risques sur Internet », avance le juriste Lionel Maurel, membre de la Quadrature du Net, une ONG française qui défend les droits des internautes.

Par ailleurs, malgré cet arsenal juridique, le rapport de force entre les internautes et les grandes plateformes (GAFA) captant leurs données, reste largement asymétrique, et le traitement de leurs données, souvent opaque, note Lionel Maurel. Pour rééquilibrer la balance, le juriste défend la mise en place d’une « protection sociale » des données à caractère personnel. S’inspirant de certains mécanismes du droit du travail, et notamment de la forme syndicale, il imagine « une organisation collective qui ferait l’intermédiaire avec des acteurs plus puissants par le biais de négociations, et pas seulement des actions en justice. »

D’autres, au contraire, voudraient faire émerger un droit de propriété sur les données personnelles ouvrant la voie à leur monétisation. Pour le think tank libéral Génération Libre, « c’est par l’introduction d’un système de prix, subtil équilibre entre marché et régulation, que l’on peut protéger la confidentialité des internautes tout en promouvant la concurrence dans un véritable marché. » Lancée début 2020, une appli, controversée, baptisée TaData propose de la même façon de rémunérer les 15-25 ans en échange de leurs données personnelles. Elle permet à ses « data killers » de choisir les informations personnelles qu’ils souhaitent lui confier, et promet de ne travailler qu’avec des annonceurs vertueux. Un exemple qui fait écho à toutes les questions traitées ci-dessus et en appelle d’autres comme celles-ci : Pourquoi ne pas céder ses données pour faire avancer la recherche ou l’innovation ?

Réseaux sociaux, objets connectés, achats en ligne, adresse email, consultation de sites internet, nous laissons tous des traces sur Internet. Comment mieux protéger notre identité numérique ? Une réponse en vidéo de Sonia Coudoux, Global product manager BNP Paribas Cardif.

Présenté par Le Cardif Lab’, en partenariat avec Usbek & Rica